© LLAM

؏ NOM ؏ Johnson ؏ PRENOMS ؏ Eli, Warren ؏ DATE DE NAISSANCE ؏ 1er février 1980 ؏ EMPLOI/ETUDES ؏ Après le lycée, j’ai entamé des études de philosophie que je n’ai jamais terminé et j’ai enchaîné les jobs à la con. ؏ GROUPE & RÔLE ؏ The Agency, agent de terrain en formation. ؏ POURQUOI CE GROUPE ؏ Comme si on m’avait demandé mon avis… Je n’ai pas choisi de travailler pour la famille Cristiani mais ils détiennent la seule chose qui m’importe. ؏ STATUT SOCIAL ؏ Modeste

؏ CARACTÈRE & PHYSIQUE ؏

Parler de soi de but en blanc comme ça… Qui décrirais-je ? L’homme ? Le fils ? Le mari ? C’est amusant parce qu’au final, quoi que j’en dise, les gens ne verront jamais que ce qu’ils désirent. Et chacun a sa propre idée de qui devrait être Eli Johnson, même si ça reste encore quelque-chose d’assez énigmatique pour moi. Je suis ce que je fais, ce que je dis, ce que je mange, et j’ai tendance à croire que ça devrait suffire. Avec une certaine naïveté je dois dire… Pourtant ce n’est pas quelque-chose qui me caractérise. La naïveté, je veux dire. Je ne suis pas un type désabusé mais la vie m’a appris que la nature humaine était plus souvent capable du pire que du meilleur. À force on finit par s’en prémunir en se retranchant derrière une carapace entretissée de soupçons et de méfiance. Même si ça n’a jamais fait de moi un grand brun ténébreux renfermé sur lui-même. Je suis d’un naturel avenant. Souriant. Plus charmeur que séducteur. Je n’ai pas de mal à aller vers les autres et il faut croire que ma gueule inspire confiance la plupart du temps. Mais si j’endosse facilement la veste du copain de comptoir ou du collègue sympa qui accepte d’échanger un jour de congé - parce que je ne suis pas un salaud sans cœur et qu’à moins qu’on m’en donne les raisons je ne vais pas me comporter comme un chien - en vérité cela reste bien souvent une attitude de convenance. Un truc que je fais par automatisme. Par politesse devrais-je peut-être même dire. Le fait est que j’ai toujours eu du mal à me lier véritablement aux gens. Comme s’il me manquait quelque-chose. Pourtant j’ai rencontré des personnes formidables, merveilleuses, capables de vous redonner foi en n’importe quoi, mais je finissais immanquablement par les laisser filer. Il n’y en a qu’une qui sut me toucher au point où aujourd’hui je serais incapable de concevoir ce qu’aurait été ma vie si elle n’y était jamais entré. L’exception à la règle. Ma plus grande force et à la fois ma plus grande faiblesse.

؏ CAPACITÉ ؏

La Télékinésie consiste à pouvoir déplacer la matière par la pensée. Dans mon cas, je me suis vite rendu compte que cela n’était possible que pour une matière non-organique. Jamais pour un être vivant, que ce soit un humain, un animal ou un végétal. Ce pouvoir obéit également à des règles assez strictes.

La distance, déjà. Actuellement je ne peux pas déplacer un objet qui se trouverait à plus de cent mètres. Plus globalement, je dirais même qu’à moins de le voir de mes yeux, ou de savoir avec précision qu’il se trouve dans un endroit donné, je ne pourrais pas exercer de force dessus. Tout est question de visualisation. Si vous me mettez une boîte close sous les yeux et me demandez d’extraire ce qui se trouve à l’intérieur, je n’y parviendrai pas à moins d’ouvrir d’abord le couvercle. Montrez-moi une perle, rangez-la à l’intérieur, redemandez-moi la même chose et cette fois la magie opèrera.

Mon pouvoir s’étant manifesté relativement tôt - je n'avais que treize ans la première fois - j’ai eu le temps de m’y familiariser et d’en tester les limites. Au début je le contrôlais assez mal. Il ne fonctionnait pas à tous les coups et je ne parvenais à déplacer que des objets légers. Dans la période où j’explorais le plus mon don, sous l’impulsion de John Mason, je découvris cependant que l’esprit était comme un muscle qu’il fallait exercer jour après jour pour obtenir de meilleurs résultats. Aujourd’hui je suis plutôt fier de dire que j’ai réussi à le rendre plus solide que mon corps. Je ne suis pas prêt de pouvoir faire bouger un semi-remorque, restons sérieux, mais il y a certaines choses que la télékinésie me permet que je ne serais pas capable de faire à la seule force de mes bras.

Ceci étant, un télékinésiste ne doit jamais présumer de ses forces. L’esprit est un enchevêtrement complexe de connexions nerveuses et d’émotions. Une grande fatigue ou une brusque décharge d’adrénaline peuvent facilement en perturber l’équilibre et entraîner des incidents fâcheux, dans un sens comme dans l’autre. Dans tous les cas il vaut mieux prendre garde. Si un usage basique au quotidien me perturbe peu grâce aux séances de méditation que je m’oblige à pratiquer, je sais en revanche que forcer sur ma capacité peut facilement entraîner des maux de tête aigus ainsi que des saignements de nez qui ne m’ont jamais trop inspiré confiance. En fait il s’agit de faire preuve de bon sens. Plus l’objet est lourd, plus l’énergie à déployer est intense, plus elle requiert de l’attention, moins elle pourra durer longtemps. Claquer une porte pour la refermer, attraper le sel sans se lever, faire rebondir une balle de tennis contre un mur : ces petites choses je pourrais m’amuser à les faire une quinzaine de fois par jour. Pour des objets plus encombrants, en revanche, la donne n’est pas la même. S’ils excèdent un poids de cinquante kilos, vous pouvez déjà réduire de moitié la distance à laquelle je suis capable de les atteindre, tout comme le nombre de fois où je peux jouer les magiciens. Dernièrement, j’ai également réussi à déplacer une voiture dont le frein à main n'était pas tiré, mais seulement sur quelques mètres, et après mon second essai la douleur a été si intense que j’ai dû m’allonger dans le noir jusqu’à la fin de la journée…

En continuant à m’exercer, j’ai bon espoir de parvenir à mieux maîtriser cet aspect extrême de ma capacité, mais je sais qu’elle n’ira probablement jamais au-delà. Je n’ai pas la prétention de savoir jusqu’où ce nouveau tournant de l’évolution sera capable d’emmener l’espèce humaine, mais ce dont je suis certain c’est qu’il ne fera pas de nous des dieux. Peut-être même est-ce tout l’inverse…

Récapitulatif des capacités actuelles :

Spoiler:

؏ HISTOIRE ؏

L’eau lourde et gelée de l’Hudson River a du mal à couler. Le froid de l’hiver est là. Il se cristallise contre les vitres et enveloppe la ville dans un épais manteau gris. Parce qu’ici, dans le Bronx, rien ne reste blanc jamais très longtemps. Pas même la neige tombant du ciel. Il y a un truc dans l’air qui vous empoisse l’atmosphère et pèse sur les épaules des passants pressés marchant le long des avenues la tête rentrée dans les épaules. C’est là. Dans les exhalations fumantes des égouts et des bouches d’aération et des pots d’échappement. New-York respire la brume. C’est un matin comme celui-là que je suis né. Dans la grisaille d’un ciel couleur d’acier et d’une mégalopole américaine. J’ai été un hurlement de plus dans l’effervescence générale d’une maternité qui ne dort jamais.

Sur mon état civil on peut lire ceci : Eli Warren Johnson, fils de Joshua Alexander Johnson et de Norah Johnson, née Brown.

Je suppose qu’il faudrait que je développe… Que je parle de moi, mon enfance, mes joies, mes emmerdes. Parce qu’un morceau de papier dont le contenu pourrait certainement tenir sur un post-it ne suffit pas pour faire le récit d’une vie paraît-il. C’est dommage, parce que la mienne ne mérite pas forcément mieux. Mes parents étaient d’honnêtes citoyens de la classe moyenne pour lesquels le rêve américain ne signifiait plus grand-chose depuis des années. Mon père était flic. Ni à la crim, ni aux stups. Juste un vieux flic à l’uniforme aussi usée que la lueur au fond de son regard cerné. Pas alcoolo pour autant, mais les gitanes qu’il fumait à longueur de journée finirent par avoir sa peau quand je n’avais que sept ans. Ma mère, qui n’avait jamais travaillé avant ça, dégota alors un job de secrétaire dans un foyer social et se mit à faire des heures sup comme femme de ménage pour arrondir les fins de mois. Autant dire qu’elle n’était pas souvent dans les parages et que son statut de mère célibataire lui collait mal à la peau. Je ne lui ai pas facilité la tâche non plus je dois dire. À l’école je n’étais pas mauvais mais je me contentais du strict minimum, et sans véritable figure d’autorité pour m’encadrer j’empruntais facilement la pente douce vers la délinquance adolescente. Je n’ai jamais été un caïd. Mon style était plutôt celui du trublion de service. Le bon copain de tout le monde qui sèche les cours pour aller fumer des joints en jouant à la console, celui qui vous refile un faux permis de conduire pour pouvoir acheter de l’alcool avant l’heure ou qui monnayant une poignée de dollars s’amuse à hacker le réseau de l’école pour changer vos notes. Un passe-temps qui me coûta une exclusion de deux mois d’ailleurs, quand l’histoire attint les oreilles du dirlo. Mais ce qui me valut un aller simple pour la maison de correction lorsque j’avais dix-sept ans, ce fut une toute autre affaire.

S’introduire dans une baraque de la banlieue chic sans avoir réfléchi au système d’alarme ne fut manifestement pas l’idée la plus brillante de ma vie. Ça avait beau être la première fois qu’on m’arrêtait pour ça, avec mes antécédents le juge ne tortilla pas trop à m’envoyer faire un séjour à l’ombre. Une sale période. De celle où la colère rejoint l’impuissance et vous traîne plus bas que terre. Pourtant c’est là-bas que je fis la rencontre de John Mason, un quinqua qui venait bénévolement donner des cours d’art martiaux et de méditation pour apprendre aux jeunes comme moi à canaliser leurs émotions et leurs coups d’éclats. Ce mec m’empêcha de perdre pied. Il devint un vrai mentor. Quand ma peine se termina, je continuais à le voir. Ce n’était pas un mutant comme moi mais je lui avais parlé de mon don et il fut le premier à ne pas réagir comme si j’étais un p’tit con ou un grand malade. Il me parla au contraire de toutes ces énergies invisibles à l’œil nu régissant l’univers et m’apprit à accepter ce que j’étais. Sans lui je n’aurai probablement pas repris mes études non plus, même si je fus obligé d’arrêter rapidement par manque de moyens. De toute façon John Mason mourut à son tour, dans un accident, comme s’il était écrit que les pères ne feraient pas long feu dans ma vie. Après cela il fut difficile de vivre selon les principes qu’il avait essayé de m’inculper. J’avais bientôt vingt-quatre ans, pas de diplôme digne de ce nom, pas de famille digne de ce nom non plus. Ma mère était toujours vivante mais la solitude avait fini par faire d’elle une femme au dos voûté paraissant quinze ans plus vieille qu’elle ne l’était. Vous savez, cette voisine un peu zinzin qui vit avec dix chats et marmonne des histoires sans queue ni tête dans la rue et la cage d’escaliers. Je suppose que je n’y suis pas pour rien. Que si j’avais été un fils capable d’être là pour elle et de la rendre fière les choses auraient peut-être tournées différemment. Mais elle et moi ça faisait longtemps qu’on avait loupé le coche.

Il n’y a pas grand-chose à dire de cette période. Je me démerdais en passant d’un job à un autre, comme videur surtout, et je repris également du service comme hackeur. Pas de la haute voltige mais je me démerdais et filais quelques services à droite à gauche, pas vraiment à des gens toujours très recommandables. Ma vie était alors d’une fadeur poisse, et ni les femmes ni les soirées arrosées ne parvenaient vraiment à l’illuminer. Ça aurait pu durer longtemps si ma route n’avait pas croisé celle d’Axobia. Un hackeur aussi, mais qui ne jouait pas dans la même cours que moi. Il faisait parler de lui depuis quelques temps déjà, mais c’est complètement par hasard qu’on se retrouva à infiltrer la même base de données informatiques. Et c’est comme ça que notre jeu du chat et de la souris commença, tandis que j’ignorais qu’il m’apporterait le plus grand bonheur qui soit. Quand on se rencontra enfin, j’avais vingt-sept ans et je n’avais jamais rien vu d’aussi beau que cette femme au teint pâle louvoyant dans une robe noire entre les corps mouvants d’une foule anonyme, ses yeux bleus rivés dans les miens. C’est un sentiment qui ne s’explique pas. Je l’ai aimé et j’ai su qu’elle serait tout pour moi dès cet instant, en un seul regard, tandis que l’empreinte de sa bise machinale sur ma joue s’imprégnait au plus profond de mon être. N’allez pas croire pour autant que cela suffit pour que nous filions le parfait amour. Il fallut attendre encore un peu avant que nous osions embrasser cette attirance évidente qui nous consumait, mais pas une seconde je n’ai regretté d’avoir abandonné toute ma vie derrière moi pour pouvoir rester auprès d’elle. Les vies que nous avions mené n’avaient jamais rien eu de semblables, pourtant elles avaient fini par réunir deux âmes solitaires nées le même jour d’hiver, un certain 1er février 1980, à plusieurs millier de kilomètres l’une de l’autre.

Vivre sur les routes fut la plus belle expérience humaine de mon existence. Beaucoup de galères, beaucoup d’emmerdes, et pourtant je ne me souviens principalement que des meilleurs souvenirs, des sourires de ceux qui partagèrent un morceau de notre vie aux matins enlacé au corps nu de ma compagne, à regarder le soleil se lever au-dessus du désert. Mais un jour il faut savoir arrêter le compteur. Tirer un trait sur les blessures du passé et s’atteler à construire le futur. C’est ce que nous étions prêts à faire. Poser enfin les valises et s’installer dans cette ville de l’Oregon, parmi cette joyeuse troupe de comédiens, dans ce théâtre où il manquait toujours une paire de bras pour s’occuper des éclairages et de la technique. Nous aurions pu le faire, trouver enfin notre place. J’y crus véritablement avant cette nuit maudite où tout bascula. J’étais sorti, chercher trois bricoles idiotes au coin de la rue. En rentrant, alors que je posais le pied sur la dernière marche menant à notre couloir, j’entendis un bruit sourd, comme quelque-chose qui se brise, et la voix de Gillian étouffer un cri. Je me rappelle alors m’être figé une fraction de seconde avant de lâcher le sac de course et de bondir en avant. Mais je n’ai jamais atteint la porte. Une aiguille s’était plantée dans mon cou avant que ma main se pose sur la poignée de l’appartement…

؏ PROJETS & ESPÉRANCES ؏

Ce n’est pas moi qu’ils voulaient. C’était elle. Mais pourquoi se priver quand l’on peut obtenir deux mutants pour le prix d’un ? Et qu’ai-je à espérer de cette situation impossible dans laquelle ils nous ont traînés ? Des espérances ? J’en ai plus d’une dans la cervelle ! Retrouver la douceur de ses lèvres et la chaleur de ses bras, être libre, survivre à cette mascarade qui voudrait que nos vies se résument à un jeu de dupes oscillant entre l’espoir et la peur du châtiment. Assis. Couché. Pas Bougé. Je suis devenu un chien que l’on tient en laisse courte. C’est tout ce qu’il me reste : ça, ma rage et la promesse vaine d’être un jour à nouveau réuni avec celle que j’aime. Je suis bien forcé d’y croire…

© LLAM

؏ PSEUDO ؏ Yoyo ؏ ÂGE ؏ Pas loin de la trentaine ma pauvre Lucette ؏ AVATAR ؏ Keanu Reeves ؏ CODE DU REGLEMENT ؏ Spoiler: ؏ EXPERIENCE RP ؏ J’ai une longue expérience derrière moi mais ça fait deux-trois ans que j’avais arrêté d’écrire. Donc je suis un peu rouillé. ؏ DISPONIBILITE ؏ En fonction. ؏ SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAINAGE ? ؏ Je vais essayer de me débrouiller comme un grand. ؏ OU AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ؏ Par le biais de ma tendre moitié rp. ؏ VOTRE AVIS ؏ La pointe de SF qu’il me fallait pour me remettre sur les rails. Je reviens à mon premier amour.

Bienvenue parmi nous, hâte de lire ta fiche et surtout le pouvoiiiiiiiiiiiiiiiiir que tu auras choisi !

Et meilleurs voeux 2014 tiens pour la peine !

bienvenue parmi les fous

Un début de fiche prometteur ... Dépêche toi d'écrire la suite !

A nouveau bienvenue Eli, quel sympathique choix d'avatar.
Bonne inspiration pour ta fiche, au plaisir de te lire.

Bienvenue !

Bon courage pour la suite et à très vite.

Keenu Reeves il a de la classe le sagouin. Bienvenu parmi nous très cher !

Bienvenueeee Eli ^^ Contente de voir un peu des vavas différents

Bon courage pour la fifiche et l'épreuve de la validation, c'pire que Fort Boyard ici xD

*vient se pelotonner en boule sur les genoux d'Eli et ronronne*

Que je te souhaite officiellement la bienvenue quand même  

La suite ! La suite ! La suite !

bienvenu dans la matrice^^, big up pour ta fiche. LA t'attend avec impatience.

Bienvenue parmi-nous Neo
Bon courage pour ta fiche   

Haaaaaaaaa Keany Reeves *lui saute dessus* Oui je sais, ça fait bizarre avec Ross, mais je ne vais pas changer de compte pour ça (MJ en DC que tu as eu le plaisir de rencontré hier soir sur la CB)

Bienvenue officiellement parmi nous

Par contre, un détail qui a son importance, Keanu Reeves a 49 ans et ton perso 31. En général, on demande qu'il n'y a pas trop d'écart entre la célébrité et le perso (10-15 ans maxi) en faisant attention de ne pas prendre des avatars trop récents. Il faudrait donc, que tu vieillisses un peu le beau Eli *___*

Ah, merde... Avec Gillian on tenait un peu au fait qu'ils soient nés le même jour en fait. Et bon, vous aurez compris que le choix d'avatar est un délire bien à nous (d'ailleurs les acteurs ont sensiblement le même âge). J'ai essayé de choisir des images où il fait plus jeune, mais de combien d'années à peu près vous pensez qu'il faudrait le vieillir ? 34 pour faire 15 pile poil ? XD

Merci pour la bienvenue sinon, et je tâche de finir rapidement cette fiche

Je peux me vieillir de quelques années avec toi. Ça me fait juste changer deux/trois dates dans ma chrono, si les admins sont d'accord of course

T'as de la chance que Keanu fasse plus jeune que son âge et qu'il soit trop sexy *___*

Non en fait, à compter de maintenant on n'a décider de ne pas chipoter. Par contre, tu devras toujours faire attention à ne pas utiliser des photos trop récentes pour ton perso.

Donc, ne change rien concernant l'âge

Hello sexy mari !! Bienvenue chez toi !!

Ok, pas de soucis ! Et merci du coup, même si ça me posait pas forcément de soucis de faire le changement.

J'avance ma fiche doucement, j'ai aussi changé mon pouvoir car je me suis rendu compte en examinant la liste du forum que celui que je convoitais est déjà pris par quelqu'un en fait, sous un autre nom. Du coup je me rabats sur le grand classique de la télékinésie

Je crois que tu peux toujours prendre l'intangibilité si tu y ajoutes des modifications majeures comparé à l'autre personne. Mais la télékinésie c'est tout bon aussi ( le gif quoi <3 )

Ross a écrit:

Par contre, un détail qui a son importance, Keanu Reeves a 49 ans et ton perso 31. En général, on demande qu'il n'y a pas trop d'écart entre la célébrité et le perso (10-15 ans maxi) en faisant attention de ne pas prendre des avatars trop récents. Il faudrait donc, que tu vieillisses un peu le beau Eli *___*

ouai, mais il les fait carrément pas !
J'aimerais bien être aussi bien conservé à son âge

*sort*

Bienvenue Eli ! *o*
Et sisi ! Garde Neo, on y tiens !! (j'y tiens ? )

Oui, faux-copain de l'Agence \ô/
Benvenido, benvenido (toujours pas en retard, que neni) !

Bienvenue !

La cuillère n'existe pas *_*

Merci messieurs pour cet accueil !

J'ai terminé ma fiche. Je laisse donc le soin aux admins de me passer à la moulinette

Bonsoir Monsieur !
C'est un honneur que de m'occuper de vous  
Venons-en au fait qui nous importe en priorité.

Caractère et physique : RAS

Capacité (il y a toujours quelque chose à dire)

Citation :

La Télékinésie consiste à pouvoir déplacer et distordre la matière par la pensée.

Ces deux mots sont synonymes mais ici on les différencie : Distordre la matière est de la psychokinésie alors que la télékinésie consiste à déplacer quelque chose d'un point à un autre. Donc c'est soit le déplacement d'objets soit la distorsion de la matière. Il semblerait que ce soit la télékinésie que tu as choisi.

Citation :

Actuellement je ne peux pas faire venir à moi un objet qui se trouverait à plus de deux cent mètres.

A réduire de moitié, sachant que 100 mètres doit être un maximum si l'objet n'est pas gros ni lourd.

Citation :

il y a certaines choses que la télékinésie me permet que je ne serais pas capable de faire à la seule force de mes bras.

Des exemples pour savoir ce que tu envisages, stp.
C'est bien d'avoir souligné qu'il a besoin d'un contact visuel pour pouvoir exercer son pouvoir. Mais sur quelle distance et de quel poids et pendant combien de temps ? En fonction de tout ça, l'énergie nécessaire ne sera pas la même. Tu peux donner des exemples, c'est plus facile qu'avec des définitions où on a tendance à s'emmêler les pinceaux XD

Histoire :
- Il est indiqué études en philo dans études et métiers mais il n'en est pas question dans l'histoire dans laquelle est indiqué :

Citation :

Mais ce qui me valut un aller simple pour la maison de correction lorsque j’avais dix-sept ans, ce fut une toute autre affaire.

Donc si on reste logique dans la chrono, après le diplôme de high school il ne va pas à la fac mais en maison de correction... Mais, plus tard il est indiqué qu'il a 24 ans. Y'a un petit truc que je n'ai pas saisi là même si tu indiques qu'il a repris ses études grâce à son mentor.

Sinon quelques fautes dans l'histoire mais c'est acceptable d'autant plus que tu as une jolie plume ^^

Bon courage pour les modifications

J'ai essayé d'apporter des éclaircissements à la capacité. Pour l'histoire, sinon : il est envoyé en maison de correction à 17 ans donc avant son bac. Il passe son diplôme là-bas, les mineurs n'étant pas déscolarisés dans ces établissements. Les études qu'il entame par la suite sont bien celles de philo. Par contre je vois pas le rapport avec le moment où je parle de ses 24 ans... 24 ans c'est juste l'âge qu'il a quand Mason meurt. Il a déjà arrêté ses études sups à ce moment, c'est pour ça que je dis qu'il n'a pas de diplôme digne de ce nom (un bac ça sert à rien).

Bienvenue et bon courage pour la validation.