Lukas Juan Olivera
© &mily | ؏ NOM ؏Olivera ؏ PRENOMS ؏ Lukas (prononcé Loukasse) Juan ؏ DATE DE NAISSANCE ؏ 14 Mars 1986 (soit 25ans prochainement) ؏ EMPLOI/ETUDES ؏ Ex mannequin en argentine, espère percer comme comédien aux états-unis d’où le choix de la cité des anges. Il a une certaine renommée en argentine mais reste un quasi inconnu aux states, hormis dans le milieu du mannequinat. Il a étudié les langues étrangères au tout début de sa carrière et parle de ce fait parfaitement anglais même si il conserve son petit accent hispanique. ؏ GROUPE & RÔLE ؏ I live my life ؏ POURQUOI CE GROUPE ؏ Lukas est tout juste conscient d'avoir une particularité. C'est embarrassant quand ça se déclenche, pour autant il ne contrôle rien et n'a pas même l'idée que d'autres personnes puissent connaître elles aussi des bouleversements de ce genre. Son manque de contrôle fait qu'il ne se souvient généralement pas de grand chose quand sa capacité s'active, il est bien trop souvent totalement euphorique. Il pourrait un jour intégrer une organisation si les idées défendues ou la nécessité l'y poussait. ؏ STATUT SOCIAL ؏ Aisé, même si en vivant sur ses économies il devra faire attention ou revenir à son job de mannequin.
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؏ CARACTÈRE & PHYSIQUE ؏
C'est un homme, comme il y'en a des centaines, pourtant quelques particularités physiques le font sortir du lot. Des yeux clairs et pleins de vie en premier lieu, parfois vert opalescent parfois presque turquoise. C'est un regard qui retient l'attention, des yeux qui brillent au milieu de son visage au teint mat. Il a un visage souriant et ouvert et a des petites fossettes qui ajoutent à son charme. Sans oublier une haute stature 1m 87 et un torse à tomber par terre. Ce fut d'ailleurs ce qui le fit repérer à l'âge de 17ans par un agent d'une agence de mannequinat en vacances dans sa région. C'est un atout qu'il entretien bien entendu mais il doit avouer être gâté par la nature, il n'a pas besoin de se restreindre pour gagner sa ligne.
Il se dépense ; fait du sport, par plaisir. Il adorait la boxe quand il était adolescent mais on lui a rapidement expliqué qu'un nez ou une pommette pété n'était pas le meilleur moyen pour aller loin. Il s'est alors tourné vers la natation et ça a sans doute aidé pour prendre un peu de carrure.
Une fois mannequin il s'est retrouvé confronté à un monde dicté par l'apparence, chose compliquée pour lui qui ne venait pas du tout de ce genre de milieu. Il s'y est fait en apparence, acceptant le dress code et l'attitude pour faire les meilleurs clichés. Pour autant il n'a jamais adoré ce monde, il est proche de la nature et doit à son enfance d'avoir les pieds sur terre. Il n'a quasiment jamais travaillé pour les défilés se contentant de travail en studio ce qui lui rendait les choses plus faciles.
Il n'aime pas spécialement la renommée qu'entraîne son boulot parce qu'il ne lui trouve pas de sens. Il fait son boulot, du mieux qu'il peut, point.
Il a prit l'habitude de se laisser pousser une barbe de trois jours et de se balader avec une casquette ou un bonnet et des lunettes noires. Du moins dans son pays. Il n'aura pas ce soucis aux États-Unis en tout cas pas de grande ampleur.
Lukas a été élevé par des parents relativement modeste, mais cultivés. Il a essayé de poursuivre des études en parallèles de sa carrière. Il a suivi un cursus de langue étrangère jusqu'au diplôme de second grade. Il parle de ce fait, anglais couramment, espagnol, portugais et baragouine également quelques mots d'allemand. Pour lui c'est loin d'être suffisant et il se sent souvent pris en défaut. Pas assez intelligent ou manquant de culture ce qui le rend plutôt distant avec les gens de prime abord. Évidemment les gens mettent ça sur de la fierté de beau gosse qui se la pète sans chercher plus loin.
Lukas est ce qu'on peut appeler un « mec bien » avec un code d'honneur, des valeurs sur lesquelles il ne transige pas. Ne pas profiter d'autrui, ne pas faire souffrir quelqu'un volontairement, toute sorte de principes inculqués par une famille très respectueuse des traditions.
Présenter une nana a ses parents signifiant par exemple dans son esprit qu'elle est sa future épouse. Il est cependant assez macho, ce qui passait sans doute mieux en Argentine que ce sera le cas à L.A. En même temps c'est intégré depuis l'enfance donc ce sera sans doute compliqué de s'en défaire.
Lukas est extrêmement rancunier et pour lui la vengeance ne pose aucun soucis de conscience au contraire, la loi du talion, lui va très bien.
Il est sincère et généralement à l'écoute des autres pour autant sa franchise lui permet de dire quand il sature. Il sait également se servir de sa stature pour décourager les importuns. Il peut avoir un visage totalement inexpressif et c'est le roi des colères froides. Il hurle rarement, jure rarement, quand il le fait c'est qu'il est arrivé au comble de la fureur.
Il a beaucoup d'humour et aime amuser la galerie. Il n'a pas peur du ridicule quand il s'agit de s'amuser et sera le premier à inventer des défis idiots à relever. Il ne fait pas attention à sa réputation ce qui agace d'ailleurs profondément ses parents. Il les adorent et fais tout pour respecter leurs codes du moins en apparence. Quand ça ne cadre pas avec l'image que ses parents ont de leur fils il se dissimule un minimum. Quitter l'Argentine c'est finalement aussi pour lui le moyen de prendre enfin vraiment son indépendance pleine et entière.
؏ CAPACITÉ ؏
Oxygénokinésie.
C'est une capacité complexe qu'il découvre complètement pour le moment. Il ne maîtrise rien et le déclenchement tout comme la force de cette capacité est en lien complet avec ses émotions. C'est toujours sous le coup d'une émotion forte qu'il se déclenche. Il apprendra cependant avec le temps à se contrôler et à en bloquer les déclenchements intempestifs.
Sa capacité consiste donc en le contrôle de l'oxygène. En fait au cours de la respiration tout être vivant absorbe de l'oxygène et rejette du dioxyde de carbone. Dans son son cas c'est parfois amplifié de façon impressionnante. Son corps majore ses besoins en oxygène et de fait il en diminue le taux dans son environnement immédiat.
S'il est en extérieur ça n'a aucune conséquence observable si ce n'est une euphorie qu'il ressent toujours quand son pouvoir se manifeste. En effet ce fort taux d'oxygène dans son sang lui fait tout d'abord tourner la tête. Ensuite il se sent comme saoul, euphorique et se montre alors assez inconscient du danger, finalement assez incapable même d'aligner deux pensées cohérentes.
Par contre en intérieur et selon les proportions de la pièce il fait diminuer graduellement la proportion d'oxygène dans l'air, créant pour les personnes présentes un inconfort respiratoire dans un premier temps avec une montée en puissance graduelle.
Ceci pouvant aller jusqu'au malaise si les gens ne peuvent quitter la pièce. Il ne provoquera jamais de décès car avant d'avoir rendu l'air totalement irrespirable, il tombera dans les pommes son pouvoir s'inversant alors immédiatement.
Il est efficace en environ 5 minutes dans une pièce de 20 mètre carrés pour amener les occupants au malaise hypoxique. En une quinzaine de minutes si elle fait autour de 30 mètres carrés. Au delà on pourra observer un inconfort respiratoire mais guère plus.
Par contre si il se trouve en contact physique avec une personne son pouvoir s'active avec plus de violence sur cette cible. La cible a très vite la sensation d'une corde se resserrant autour de son cou et elle suffoque rapidement. Cependant l'inverse se manifeste rapidement chez lui également et il est pris d'une euphorie incontrôlable, se mettant a rire ou a tenir des propos aberrants. Il aura du mal à apprendre à contrôler ce phénomène d'ordre biologique. De toute manière il n'est pas dans sa nature d'être agressif.
Sa capacité ne peut pas s'inverser, il ne peut en effet pas produire de l'oxygène. Donc c'est bien une forme kinésie et pas une genèse. Il apprendra peu à peu à retenir sa capacité ou à la déclencher et pourra sans doute majorer sa capacité d'action, en tout cas au niveau du temps nécessaire pour créer une quasi anoxie. En effet il ne pourra pas augmenter la surface d'action, son corps ne le supporterait pas.
Les conséquences sur Lukas sont assez variables, de la simple céphalée à la migraine carabinée avec des vomissements et des vertiges. Il est alors pris de tremblements et se trouve incapable de quitter le lit pendant une durée allant de 4 à 48h. Si il dépasse encore plus les limites il tombe dans les vapes. Ça arrive s'il s'attaque à une pièce de 30m² ou plus jusqu'à la priver quasiment d'oxygène en rendant l'air irrespirable ou s'il s'en prend à une cible en particulier avec contact physique. Il fera un malaise en même temps que sa victime. Avec l'expérience il apprendra peut être à couper court avant le malaise et à s'en prendre à deux cibles à la fois.
Pour le moment il tombe dans les vapes comme une fillette mais quand il contrôlera mieux son don, l'anoxie créée dans une pièce ne pourra pas excéder 12 à 15 min de durée sans que le phénomène ne s'inverse à nouveau graduellement et que le taux d'O² remonte.
؏ HISTOIRE ؏
« Alors Mr Oliver, pourriez vous me résumer votre parcours ? »« Olivera, je m'appelle Lukas Juan Olivera, c'est Argentin, comme moi. »C'était dit avec mon sourire charmeur habituel mais ça restait une remontrance. Je détestais qu'on écorche mon nom. C'était un manque de respect, ça prouvait que mon interlocuteur n'était pas attentif et à mes yeux cette impolitesse était rédhibitoire. En même temps je n'avais rien à dire, j'étais un pauvre petit apprenti comédien et lui un producteur à succès. Il fallait donc serrer les dents, sourire et faire ce que ce gros type moche me demandait.
« J'ai 24 ans, enfin bientôt 25. Je suis né à Pinamar sur la côte atlantique argentine. J'ai grandi dans ce pays et à 14ans j'ai été repéré par Elite. J'ai débuté dans le mannequinat par accident si on veut. »Je n'avais pas envie de m'étendre sur le sujet mais en même temps pour ce type c'était sans doute un moyen de savoir si j'étais bankable ou pas.
« Pourquoi choisir la comédie? »Bonne question... Je n'avais pas envie de me livrer à lui mais je ne pouvais faire autrement. J'étais assez secret en général sur mes motivations profondes...
« Quand j'étais petit ma mère était comédienne, dans une troupe amateur, c'était un bonheur fantastique que de la voir changer de visage chaque soir. J'ai rapidement tenu des petits rôles de figurants puis d'autres. Quand ma carrière de mannequin s'est lancé j'ai du y renoncer, par manque de temps. Maintenant disons que je fais enfin le choix du cœur.. »Rien que d'en parler les souvenirs me revenaient. Je revoyais ma mère, si belle sur scène du haut de mes trois ans. Elle pouvait être une princesse et le jour d'après une femme de ménage et encore après une femme d'affaire... C'était fascinant, comme un gigantesque jeu pour adulte. J'avais eu envie de suivre ses traces, elle m'y avait d'ailleurs encouragé du moment que je poursuivais des études. Elle ne voulait pas que je m'accroche à ce métier pour ne pas me cultiver l'esprit. Pour elle ça n'était pas une voie de garage à suivre parce qu'on n'était pas foutu de réussir à l'école.
C'était déjà une femme forte, une femme de caractère qui pourtant était presque servile avec mon père. Je ne le remarquais pas à l'époque, c'était normal... Depuis je me posais des questions, je ne comprenais pas vraiment le pourquoi du comment...
J'avais eu des parents aimants, avec des valeurs et j'espérais que cela avait fait de moi un homme équilibré. Avec des fêlures bien sur, qui n'en a pas, mais malgré tout avec la tête sur les épaules et de bonnes chances de réussir dans la vie.
Les souvenirs affluaient, je revoyais la maison de mon enfance, les chevaux, les amis... On roulait pas sur l'or quand j'étais petit, ma mère était institutrice et mon père transcrivait des manuscrits anciens. Ce fut sans doute ce qui me décida à faire des études qualifiées de littéraires. Un curcus de langue, langues étrangères en fait. J'aimais ça et je me disais à l'époque que c'était forcément utile que d'être en mesure de parler avec des gens de différents horizons. Une façon de poursuivre la tradition familiale ? Peut être bien. Le poids de la société et de la tradition ce n'était pas rien chez moi.
J'avais toujours fait en sorte de respecter les règles à la lettre, du moins sur le papier. Pas vraiment de bêtises, ou alors discrètement... Ne pas faire honte, ne pas jeter l'opprobre sur ma famille. D'autant qu'une fois mannequin mes faits et gestes avaient vite été épiés.
« Je crois que vous avez rejoint une école de comédie? Il me semble que quelqu'un m'en a touché deux mots. »Oui bien sur connard, et ça t’intéressait tellement peu que tu n'as pas fait l'effort de t'en souvenir... J'avais très envie de lui balancer une réplique cinglante dans ce genre mais je ne pouvais pas. Il fallait encaisser et sourire, encore sourire, toujours sourire. Après tout je ne faisais pas semblant de croire que mon physique n'allait pas être mon sésame.
Des comédiens il y en avait plein les rues, des mauvais mais des bons aussi, de très bons même. Ce qui pouvait me faire sortir du lot c'était ma belle gueule. Rien de narcissique là dedans, juste la conscience d'avoir un physique plaisant au plus grand nombre.
Est ce que ça faisait de moi quelqu'un de beau ? Oui sans doute puisque c'était la majorité qui définissait ce genre de chose. Pour autant la beauté c'était très subjectif. La plupart des mannequins avec qui j'avais du poser n'étaient pas belles à mes yeux.
Tellement minces qu'elles en paraissaient presque malades, avec souvent des pommettes assez proéminentes et bizarres. Vraiment pas le style de filles que je pouvais vouloir séduire. Bon c'était bien beau de remonter le cours de ma vie en pensées mais ça n'allait pas séduire le directeur de casting.
« En effet, j'ai fait ce choix pour approfondir mes connaissances et aussi travailler mon accent. Pas pour le gommer, mais pour pouvoir le rendre plus hispanique au besoin. Pouvoir jouer des rôles d'européen pouvant a priori être un point fort... »Je la jouais modeste mais pas non plus crétin. Je parlais un bon anglais littéral, l'américain sans soucis majeur mais mon accent me désignerait comme étranger de toute façon. Le type mit fin a l'entretien par le classique et détestable « on vous rappellera » et je me retrouvais comme un con, dans la rue, pas le moins du monde plus avancé, et finalement assez nostalgique de mon pays, de mes parents, de mon petit confort tranquille.
Je pris la direction de la bouche de métro la plus proche perdu dans mes pensées. Je me souvenais du bal de fin de lycée. Une fête à laquelle j'avais assez peu envie de participer à la base et dans laquelle j'avais créé au final un joyeux bordel.
J'y étais allé avec Melina Dacosta. La fille de l'hacienda voisine, un vrai canon, riche, de bonne famille, soumise et bien éduquée. Le rêve de mes parents et un vrai cauchemar pour ma pomme. J'aimais les femmes passionnées avec du caractère, capable de me remettre à ma place. Finalement j'étais un macho qui adorait qu'on lui résiste. Enfin bref passons. Je haussais les épaules alors que je passais le portillon du métro. Je voulais en venir au cœur de se souvenir. Je le faisais souvent, pour essayer de comprendre.
Je me souvenais de la soirée, elle était organisée au bahut dans le gymnase qui avait été décoré pour l'occasion. Je ne me sentais pas à l'aise dans ce cadre. Ma carrière de mannequin était déjà bien lancée et me valait des jalousies. D'autant que je détestais le foot et qu'en Argentine c'était une tare aux yeux de mes collègues de promotion. Mon kiff moi c'était le cheval et la natation surtout depuis qu'on m'avait forcé a arrêter la boxe. Impressionnant comme mes pensées partait dans tous les sens. J'étais ainsi fait, depuis l'enfance, un souvenir en appelait un autre, puis un autre et encore un autre et je me retrouvais parfois à mille lieux de mon point de départ.
Je me recentrais malgré tout sur cette soirée. J'avais été sommé de mettre un costume et j'avais sélectionné une tenue de créateur. L'avantage de mon choix de carrière, je n'allais pas ressembler a un pingouin endimanché comme ceux de mes amis qui avaient loué leurs smockings.
Quand Melina descendit les escaliers de sa maison j'eus un instant le souffle coupé. Elle était vraiment diablement belle. Des cheveux noirs, un petit nez mutin, un regard lumineux... Mon sourire pourtant s’effaça quand son père dans mon dos me murmura : « il est temps de faire ta demande Lukas, elle n'attendra pas toute une vie. »
Je déglutis péniblement avant de louer sa beauté et de faire comme si je n'avais rien entendu. Je me démerdais comme je pus pour qu'on quitte les lieux très vite. J'avais la tête qui tournait et je respirais vite. Avec le recul je me rendais compte que ce coup de stress avait suffit à déclencher ma capacité pour la première fois.
La suite était une catastrophe, nous montions dans la voiture et Melina se plaignait de difficultés respiratoires. Elle n’arrêtait pas de parler et de dire qu'elle était tellement excitée qu'elle en avait presque le souffle coupé. Moi je me rencognais dans mon coin tout en sentant le vertige monter en moi.
Ma tête tournait, j'avais envie de rire comme un con et pour rien. Une fois sur place nous descendîmes et rejoignîmes les autres en passant par le vestiaire. Ce fut dans cette petite pièce que tout bascula.
Melina était collée à moi et je ne sais plus quel prof trouva judicieux de parler de ce beau couple que l'on formait. Le stress monta d'un cran supplémentaire quand elle me dit « c'est vrai nous pourrions faire un beau couple ».
Ma capacité flamba et je me mit a avoir des pensées incohérentes. L'ambiance battait son plein a coté, la musique pulsait et je me mit à tourner sur moi même en chantant à tue-tête sans même me rendre compte que les autres élèves autour de moi se tenait la gorge à deux mains. Melina me posa la main sur le bras et l'instant d'après elle s'écroulait par terre en respirant comme une patate.
Après je ne me souviens de rien, mis à part de ce qu'on me raconta. Un prof arriva et ouvrit la porte donnant sur l'extérieur. Il me vit tournoyé en chantant des chansons paillardes avant de m'écrouler sur le sol. D'après ses dires j'étais a peine tombé que les autres reprenaient conscience.
Le prof cru a une intoxication au monoxyde de carbone ou autre joyeuseté et la fête fut annulée, enfin plutôt délocalisée dans une salle communale non loin. Je fus pour ma part envoyé à l'hopital ou on ne trouva rien mis à part un taux d'oxygène très élevé dans mon sang. J'avais loupé la fête et je fus considéré comme la seule petite nature qui n'avait pu se remettre de l'incident.
Sur le moment je n'avais pas compris que c'était ma faute, ça vint plus tard, quand ça se reproduisit. En situation de stress, de peur, d'angoisse ou de joie, je me mettais à débloquer et je privais l'air de son oxygène. J'étais une sorte de monstre de foire et n'osait pas demander d'aide. J'avais peur qu'on me prenne pour un dingue ou pire encore.
J'avais appris à me mettre a l'abri quand je sentais monter ce truc, en tout cas la plus part du temps. Malgré tout je me sentais différent et je n'aimais pas beaucoup ça...
Mon métro arrivait et je m'engouffrais dans la rame en laissant derrière moi ces questionnements. J'y revenais souvent mais n'avançait pas pour autant.
Je croisais maintenant les doigts espérant que ce casteur se sorte les doigts du cul et décide de me donner ma chance.
؏ PROJETS & ESPÉRANCES ؏
Lukas arrive sur L.A avec l'envie de percer, de devenir acteur. Il compte sur son expérience de mannequin et espère que cela sera suffisant. Il vient de s'inscrire dans une école de comédie et espère ainsi acceder a plus de casting.
Pour lui la vie est un jeu et il veut en profiter a fond. Il était obligé de se contenir en Argentine pour ne pas décevoir ses parents. Maintenant il n'a plus cette pression, ou en tout cas beaucoup moins. Les gens ne le reconnaissent pas dans la rue et pour lui c'est une libération. Il est devenu mannequin par accident et ça n'a jamais été un but d'être célèbre. Il se lance dans la comédie bel et bien par plaisir et par amour de l'art, pas pour fouler des tapis rouges.
Il ne court pas après le grand amour qui pour lui serait synonyme de mariage. Sa liberté lui plaît et il entend en profiter même si ses parents adoreraient qu'il se pose et rentre en Argentine.
Il espère réussir aussi bien dans ce nouveau domaine et aimerait ainsi pouvoir aider au financement des études de sa petite sœur, ses parents ne roulant pas sur l'or. Il adorerait d'ailleurs qu'elle le rejoigne aux U.S.A vu qu'elle veut suivre un curcus international. (si validation de Lukas elle sera un scenar)
© &mily | ؏ PSEUDO ؏Claï again ؏ ÂGE ؏30 ؏ AVATAR ؏ Jesse Williams ؏ CODE DU REGLEMENT ؏- Spoiler:
validé par Sonny ؏ EXPERIENCE RP ؏ En adéquation avec mon âge canonique ^^ ؏ DISPONIBILITE ؏ Variable. Mais au minimum passage 3/7 et RP au mieux et selon les Réponses de mes Partenaires. ؏ SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAINAGE ? ؏ Non merci. ؏ OU AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? ؏ DC ؏ VOTRE AVIS ؏ Home sweet home
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