Lana Stein-Anton
do you want a piece of me(c) Klo& | ؏ NOM ؏ Stein-Anton ؏ PRENOMS ؏ Lana Angel July ؏ DATE DE NAISSANCE ؏ 08 Décembre 1986 ؏ EMPLOI/ETUDES ؏ Etudiante en master d’économie et finance ؏ GROUPE & RÔLE ؏ I live my life ؏ POURQUOI CE GROUPE ؏ En fait, même si son beau père travaille chez Genetic, Lana ne lui à jamais parlé des petites bizarreries qui pouvaient se produire parfois. Bien au contraire, inconsciemment, elle espère même qu’il ne le découvrira jamais. Elle ne veut pas blesser Micah en lui volant l’attention de son père surtout, alors, elle préfère éviter tout ce qui se rapporte au génome, faisant celle qui ne possède aucun pouvoir. ؏ STATUT SOCIAL ؏ Aisée
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Certains diront d’elle qu’elle est canon, bandante et j’en passe. D’autre diront que c’est une belle petite garce arrogante et manipulatrice. Alors les premiers ont raison, les seconds aussi. Mais sans doute ne connaissent-ils d’elle que ce qu’elle veut bien laisser voir. Oui, Lana peut être une véritable peste, écrasant pour mieux s’imposer, usant de la notoriété qu’une fille populaire peut avoir. On la déteste et pourtant, on veut faire partit de son cercle d’ami. Une belle hypocrisie qui la fait rire d’ailleurs. Une hypocrisie dont elle a conscience, dont elle joue. Lana est un stéréotype américain, grande, blonde ( du moins, quand le caprice de changer de couleur ne la prend pas ), une poitrine arrogante, de longues jambes musclées finement, une taille souple qu’elle aime souligner avec des vêtements ajustés, un regard langoureux qu’elle rehausse parfois d’une moue boudeuse. Elle est belle, elle le sait, elle s’en sert. Qui n’a jamais vu ce genre de fille ? Après tout, ce n’est pas tellement original, il en existe des troupeaux entiers de ce genre de fille. Superficielle, matérialiste le seul truc qui ne colle pas serait sans doute qu’elle n’est pas idiote. Pas une surdouée pour autant mais intelligente ça oui. Ce qui la rend sans doute plus dangereuse d’une certaine manière. Pour la connaitre vraiment, il faudrait gratter le vernis soigneusement appliqué sur ses pensées et ce vernis, croyez-moi, il est en béton. Elle ne laisse personne s’approcher, elle repousse parfois violemment, cruellement. Oui, elle est sans doute cruelle, sans scrupule dirait certain, tellement sûre de son bon droit. Mais tout cela ce n’est qu’une protection, le seul moyen qu’elle connaisse pour avoir ce qu’elle veut, protéger qui elle veut, parce qu’elle est intensément protectrice, même si elle n’en laisse rien voir. Sous le vernis, on pourra voir qu’elle aime profondément sa famille, même si elle empreinte plus souvent qu’a son tour la CB de son beau-père. Il n’est pas rare de la trouver derrière des fourneaux, enfant débrouillarde avec à sa charge une mère perdue, Lana a appris a prendre soin d’elle-même, ne serait-ce que pour manger. C’est un fin cordon bleu, une fêtarde invétérée et on ne compte plus ses petits copains qu’elle change selon ses humeurs. Elle ne montre ses faiblesses qu’a ses proches et ils ne sont pas nombreux. Micah en fait partit, le plus intimement possible d’ailleurs. Avec lui, elle est tour à tour peste, garce, fragile, vulnérable. Sans doute le seul à pouvoir prétendre la connaitre vraiment. William, le petit dernier, l’aime, elle le sait, elle aussi, mais elle a reproduit sa relation avec Micah, sans y trouver le même gout cependant, mais qu’importe, elle le taquine, il la taquine et leur différence d’âge n’y change rien. Sans doute est elle une seconde mère pour lui, ou aimerait elle le penser.
Non pour tous, elle n’est qu’une fashion victim comme tant d’autre. Belle, séduisante, séductrice, assurée. Mais tout au fond de son cœur, finalement, elle n’est qu’une petite fille qui doit porter sa mère à bout de bras.
Lana est , ce que j’appellerais un Miroir. Mais un Miroir étrange. Chaque émotion, sensation trop violente telle que la peur, la colère, la passion, se traduit irrémédiablement par une réaction physique dhez celui qui la provoque cherchant l'apaisement du dit sentiment. L'effet est aléatoire, Lana ne contrôlant rien. La répulsion peut devenir comme un coup porté, l'affection, comme une caresse donnée. Ce pouvoir brut est trop dépendant des émotions de la jeune femme et la rend dangereuse. Lana tente, avec l'aide de Micah, tout en ignorant qu'il est capable de décupler son pouvoir, d'en prendre le contrôle...C'est un pouvoir instinctif qui réagit principalement sur le meilleur moyen d'éteindre ce sentiment incontrôlable, de le supprimer car il devient une gêne. Ainsi, la peur se traduira par une réaction visant à la faire disparaître. La haine, se transformera en blessure humiliante pour changer ce sentiment violent en satisfaction par exemple. Le désir trop brutal devra être assouvit, déclenchant une réponse animale du type phéromone, ou apaisé provoquant alors quelque chose aux antipodes mais toujours de l'ordre du physique, du matériel, une éruption cutané, un bourrelet disgracieux. Le ressentit doit être éradiqué, apaisé ou transformé pour être de nouveau contrôlable et, ce par des moyens aléatoires mais toujours physiques. Etant instinctif, il reste violent mais très éphémère. Lana tente bien d'en apprendre la maîtrise mais cela lui occasionne des migraines atroces qui la pousse a s'enfermer dans sa chambre, dans le noir et le silence complet quand a ce qu'elle nomme le code instinct (provoqué par une émotion instinctive, incontrôlable, contrairement a ce qu'elle essaye de faire en lorsqu'elle tente de le maitriser ), elle sait qu'elle en a fait usage modérément lorsque la nausée la pousse à aller vomir dans les toilettes, elle sait que c'était bien plus fort si en plus elle supporte des vertiges et enfin....une utilisation intensive la plonge dans l'inconscience, il est une chance qu'il ne soit qu'éphémère, en règle générale, une ou deux minutes suffisent, les émotions sont changeantes et un rien les calment, mais si, par malheur cela ne suffisait pas....L'inconscience de la jeune femme serait le salut. Lana ne peut supporter son don que deux ou trois minutes à pleine intensité, cinq minutes a intensité variable, une dizaine pour un usage modéré, néanmoins les effets de son pouvoir sont influancé par celui de Micah, elle sera moins sujette aux effets secondaires. Cependant peut être est ce une chance ou non, mais son pouvoir ne s'applique qu'a une seule personne, celui qui provoquera le plus d'intensité émotionnelle. Il n'est pas a zone d'effet, peut être est ce le mieux.
A chaque lien existe un commencement. Bizarrement, il ne peut jamais être parfait. Ni doux. Ni tendre.
Elle a froid. Les relents de peur parcourent sa peau, la gelant inexorablement, pourtant, son corps tremble sans cesse prouvant qu’il ne pouvait être immobile. A côté d’elle, il a presque l’air d’un homme et elle, juste l’air d’une enfant qui pleure. Son mascara a coulé sur ses joues, les maculant de longues trainées noires, tranchant avec la pâleur de son visage. Son rouge à lèvre a bavé sur des lèvres qu’elle essuie frénétiquement, sanglotant sans savoir s’arrêter. C’est un bras frêle qui entoure ses épaules mais pour l’heure, c’est le seul rempart qu’elle possède, alors elle s’y accroche, comme une perdue, comme elle le peut, avec ses ongles peints sur ces hanches encore fragiles. Elle cherche une chaleur enfantine qui saura la rassurer, lui dire que tout va bien. Et la pluie tombe sans cesse. La mort rode. Non, elle est déjà là. Elle n’arrive plus à marcher, accroupie contre un mur, ses talons dont elle était si fière maculé d’eau, de boue…Elle sanglote comme une idiote accrochée à un gamin de 13 ans. Son seul repère pour l’heure. Elle la chearleader de son collège. Elle qui aimait parader dans des habits du dernier cri, qui prenait soin de son apparence, qui traitait les autres comme des idiotes, des…moins que rien, accrochée à un binoclar, une tête, le genre de type sur lequel elle ne se serait jamais retourné mais en cette minute…Il était son frère.
« Promets-moi… »
Oui, les liens les plus profonds ne sont jamais enrobés de rose. Qu’on se le dise.
Lana est née trop tôt. Du moins, c’était l’avis de son père. Sa mère elle, semblait heureuse. Sur les photos, c’est flagrant, elle qui sourit si largement et lui qui regarde ailleurs. Peut-être sa cousine si belle et si bien faite, peut être que sous son front pensif tournaient des pensées peu charitable, peu catholique. Pourquoi lui ? 18 ans et père ? Quelle idée ! Il voulait encore profiter des filles, vivre, boire, sortir. Mais non, il devait se marier avec cette fille. Combien de fois avaient ils couchés ensemble ? 5 ou 6 fois ? Il ne s’en rappelait même pas en fait, mais cela avait suffi pour la mettre en cloque. Ironie de la vie, si on peut dire ainsi.
Lana est née quatre mois après ce jour glorieux qui vit l’union de deux êtres en total opposition. Décidemment, le destin a un drôle de sens de l’humour. Un tel mariage était-il voué à l’échec ? Allons ne soyons pas hypocrite, bien sûr que oui. Trois ans plus tard, monsieur quitta madame. Sans même un regard, sans un sourire. Ce petit truc avec une couche lui avait volé sa jeunesse, alors, il allait la punir. Egoïste.
Madame se retrouve donc toute seule, sans travail, pour élever une fillette qui sait à peine dire maman. Quelle vie radieuse ! Alors madame plonge dans l’alcool, enchaine les boulots mais son sourire est vrai lorsqu’elle offre à son soleil la dernière barbie à la mode. Après tout, sa fille n’est responsable de rien n’est-ce pas ? Mais Madame n’est pas responsable tout court. Madame s’endort souvent avec la bouteille à la main, Madame oublie de préparer le repas de sa fille. Alors Lana apprend à faire à manger à 5 ans. A 6 ? Elle sait faire tourner la machine à laver, repasser, ranger. A 7 ans ? Elle imite la signature de sa mère pour payer les factures. Dégourdie cette petite non ? De ce reste de vie, Lana en garde un souvenir amer, au gout acide et, sans doute qu’une partie d’elle, ne lui a jamais pardonné.
A 9 ans, elle assiste au second mariage de sa mère. Elle a un frère aussi. Plus jeune. Super. Son regard parfois trop mature pour son âge regarde tout cela sans vraiment s’y attarder. En fait, maintenant, elle va pouvoir être une enfant. Et elle a besoin d’être une enfant. Capricieuse. Pleureuse. Boudeuse. Chieuse. Elle a besoin d’être cela pour oublier ses années à rappeler à sa mère la facture d’électricité, oublier ces années à manger seule dans un coin, a oublier ses années où ce n’était pas sa mère qui calmait ses cauchemars, mais bien elle qui la consolait la nuit.
Une histoire si commune en vérité, mais qui la ronge depuis des années. Mais la petite fille qu’elle était parfois ne peut que sautiller sur place devant cet homme qui a ramené sa mère à la raison, alors qu’une autre, plus sombre, lui en voulait de lui voler son rôle. Les affres de l’enfance sont si dérisoires parfois. Si idiots. Le rêve américain dans toute sa splendeur.
Elle laisse son beau-père l’acheter. Parce que c’est comme ça que cela marche, même si elle peut nourrir pour lui une affection sincère, elle se doit de jouer son rôle de belle fille. Peste. Garce. Et elle est couverte de cadeaux. Après tout, ce beau père gagne bien sa vie, sa mère ? Elle ne touche plus une goutte d’alcool et parfois Lana regrette le temps où c’était elle la femme de la maison. Mais qu’importe, elle peut enfin être une enfant. Elle mène la vie dure à son beau-père, à ce frère que la vie lui a donné, juste pour sentir qu’ils tiennent à elle. Raisonnement logique et prévisible qu’un psy découvrirait en rien de temps.
Elle a tout désormais. Elle peut ne se préoccuper que de son vernis à ongles, que de la couleur de son rouge à lèvre. Elle grandit. Elle devient matérialiste. Parce que c’était ce qu’était la jeunesse dorée américaine. Juste des pestes trop gâtées. C’est facile, cela ne demande pas de réflexion, cela ne nécessite pas d’être intelligente. Pourtant, intelligente, elle l’est. Ses résultats scolaires sont là pour le certifier. Mais son comportement…Après tout, ce n’est qu’une enfant. Et ce rôle, elle le joue à fond. Belle. Délicate, garce, elle devient la coqueluche du collège. LA fille avec laquelle il faut trainer, qu’il faut voir. Popularité, quand tu nous tiens.
Elle nie ce frère a lunettes, plus plongé dans ses cahiers que dans la vie. Petit et frêle. C’est une honte, d’ une certaine façon. C’est toujours plus facile de l’ignorer que de l’aimer. Et pourtant, elle l’aime. Elle l’aime lorsqu’elle le charrie, lorsqu’elle le traite de cloporte binocleux, qu’elle le fout hors de sa chambre, qu’elle lui enfonce la tête dans son bol de céréales, elle l’aime en l’humiliant lui qui ne rêve que de sa meilleure amie. Elle l’aime parce qu’avec lui, elle se sent bien. Parce qu’avec lui, elle forme une famille, une famille couronnée par un autre enfant. William. Elle l’aime parce qu’il lui rend ses coups sous l’arbitrage enfin heureux de sa mère. Sa mère qui veut à tout prix les voir unis. Ils le sont. Elle l’aime mais elle ne le lui a dit jamais. Enfin, pas jusqu'à cette fois-là…Cette fois où le destin s’amuse, comme ça, comme un idiot qui s’ennuie.
Cette fois-là, la fille populaire qu’elle est, allumeuse sans même s’en rendre vraiment compte ou pensant que c’est comme ça que le sont les filles cools. Cette fois-là où son entraineur la plaque contre son bureau, une main dans son décolté, souillant son sein, niant ces cris, lui susurrant qu’elle ne demande que ça sinon, elle ne s’habillerait pas comme ça. La fois où les paumes moites de l'entraineur déchirent son corsage, exposant son corps comme un bout de viande à ses yeux affamés. Cette fois-là où elle a si peur. Cette fois-là, elle sait ce qu’elle était. Elle sut ce qu’il était pour elle. Elle a 16 ans, il en a 13 et pourtant, des deux, c’est lui le bouclier.
Cette fois-là…Ils devinrent des meurtriers.
Parce que cette fois là…Elle découvre réellement ce qu’elle est en voyant le regard frondeur de son frère, du haut de ses 13 ans, petit et frêle. Lui qui n’est qu’une moitié d’entraineur n’hésite pas a l’empoigner, à la tirer vers lui pour que plus jamais elle ne sente les mains de cet homme sur elle. Lui qui lui prit la main malgré tout. Le cœur de l’homme s’arrête. Comme ça. Comme prit dans une prison qu’il ne peut maitriser, l’empêchant de battre. Il s’arrête. Juste comme ça. Et il meurt. Elle a 16 ans, lui 13 et déjà, ils sont meurtriers.
« Promets-moi…. »
Elle se sent si sale.
« Promets-moi d’être toujours là…Pour moi. Et je serais toujours là…Pour toi. »
Elle la peste, elle qui fait semblant de ne pas l’aimer. Oui, elle sera toujours là pour lui. Mais en apparence, rien ne change, elle le harcèle toujours, elle ricane toujours, mais parfois dans le secret de la nuit, c’est lui qui vient sécher mes larmes de peur, de tristesse. Juste lui parce qu’il sait. Elle est toujours la plus populaire, la plus belle. Elle est toujours seconde de sa classe. Il la suit, bien plus doué qu’elle, devant les yeux de sa mère nait une famille unie. Mais dans ses secrets, elle est celle qui bouge les objets par la pensée, qui en devient malade et lui juste celui qui l’apaise. Il est celui qui la connait, la sait et leur lien est si profond que même William ne peut y entrer, y prendre part, non, il n’y a que Micah. Du moins, avait-il ce rôle avant de grandir. Maintenant, il la trouble, perce mes rêves et, parfois, elle le déteste pour ça. Elle a 23 ans, elle fait des études d’économie. Jamais ils n’ont reparlé de cette fois-là. Jamais. Mais cela reste entre eux, comme un lien, comme une frontière. Elle sait qu’elle n’est pas normale. Elle le sait. Mais elle ne dit rien. Son beau-père travaille à Genetic. Savait-il ce qu’elle était avant d’épouser sa mère ? C’était peu probable, mais le doute, même mensongé, demeure. Alors elle ne dit rien. Non, elle préfère cacher et ne dévoiler qu’a lui ce qu’elle est. Le témoin silencieux de ses échecs ou de ses réussites. Elle ne se contrôle pas parfaitement, elle sait devenir sentinelle imprenable mais ne peut être une armée en marche. Pourtant, elle essaye encore et toujours et c’est lui qui la ramène, épuisée, lessivée.
Ils grandissent encore et elle le quitte. Les quitte. Les cris de William, ces réflexions, sa petite voix lui manque. Sa présence aussi. Micah ? C'est son être tout entier qui lui manque. Mais elle n’a pas longtemps a attendre avant qu’il ne vienne, qu’il ne reprenne cette place que l’éloignement avait rendue vide. Elle sait, sans le dire, ce qui le torture depuis longtemps. Elle sait. C’est pour cela qu’elle n’a jamais rien dit. Elle ne peut pas être le nouveau jouet scientifique de James alors qu’il est si déçu de son fils si normal. Mais Micah ne l’est pas. Du moins, pas à ses yeux. Il a changé. Il est assuré maintenant. Arrogant.. Il n’est plus celui qu’elle peut brimer même si elle l’appelle toujours « Quat’zyeux ». Elle le sait depuis qu’une de ses amies lui a demandé son numéro, lui a demandé s’il était célibataire. Ce fut sans doute la première fois qu’elle devint réellement garce, faisant capoter les chances avant même qu’elles ne naissent. Non, il n’est plus le petit boutonneux ingrat et ça…Ca la dérange. Personne ne saurait ce qu’elle ai pour lui. Mais la question est…Qu’est-elle ? Même elle, elle ne le sait pas.
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Une soirée étudiante où il n’aurait jamais dût être. Où elle est pire que ce qu’il pourrait penser. Parce que c’est pour lui. Juste pour lui.
« Tiens, j’ai quelque chose pour toi…. »
Sourit-elle mielleuse en envoyant son téléphone dans les mains de son frère. Sait il seulement ce qui l'attend ? Elle ne le sait pas mais elle reste persuadée qu'elle le fait pour lui...Ils entament une nouvelle danse.
Bizarrement, Lana n'a pas pour but de devenir une icone de la mode ou même une actrice célèbre, même si sa plastique le lui permettrait. Non en fait, si on lui pose la question, elle répondra sincèrement ( sauf si elle décide de vous mentir ) Tous ce qu'elle veut, elle l'aura quelqu'en soit le prix. Elle veut sa famille unie. Elle veut Micah. Elle veut le sourire de William. le rire de sa mère et le geste tendre de James. Elle veut juste une vie banale, simple dans laquelle ne vit pas de don, pas de télékinésie, pas ce genre de chose qu'adore étudier son beau père. Elle ne veut surtout pas être un cobaye. Alors...Tout ce qu'elle veut, au final, c'est vivre normalement. Etre normale.
(c) Klo& | ؏ PSEUDO ؏ Patate, vala, j'ai honte -_- ؏ ÂGE ؏ Majeure, si, si, si ؏ AVATAR ؏ Emma Stone ؏ CODE DU REGLEMENT ؏ ؏ EXPERIENCE RP ؏ 8 ou 9 ans xD ؏ DISPONIBILITE ؏ Tout les jours ؏ OU AVEZ DECOUVERT LE FORUM ؏ Bon alors y a longtemps, puis Micah m'en a reparlé puis...euh..On va dire le même chemin que lui, FDD ؏ VOTRE AVIS ؏ *o*
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