Elias John Climber
do you want a piece of me(c) | ؏ NOM ؏ Climber ؏ PRENOMS ؏ Elias John ؏ DATE DE NAISSANCE ؏ Le 5 septembre 1973 ؏ EMPLOI/ETUDES ؏ Avocat (droit pénal) ؏ GROUPE & RÔLE ؏ I live my life ؏ POURQUOI CE GROUPE ؏ Car il permet d'envisager toute sorte d'évolution et ça me parait une bonne base pour entamer l'histoire d'un personnage sur ce forum ؏ STATUT SOCIAL ؏ Assez aisé
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( 200 mots minimum )
- Puis-je entamer par le physique ?
Mon point de vue impose un avis subjectif, pas forcément du votre. Mais qu’importe. A mes yeux je suis un homme séduisant qui pour autant n’a pas de traits extraordinaires. Je ne suis pas un dieu, jusque là j’imagine que nous sommes tous d’accord.
Dans l’ensemble je suis quelqu’un de moyen, tant par la taille que le poids. J’aime le sport, j’en ai besoin pour occuper le peu d’heures de pause qui me sont accordées. C’est, comme pour la plupart des sportifs, une façon de me défouler avant même de parler d’entretien physique.
Ah et je suis brun, aussi.
Si on s’attache un peu plus au détail il y a cette mâchoire bien dessinée, ferme. Des cheveux rebelles et difficiles à ordonner. On ne peut pas être parfait… J’ai un tatouage personnel et symbolique sur le haut du bras droit.
Ma plus grande qualité physique – d’après moi – c’est la force de mon regard. Son intensité ou tout ce qu’il peut exprimer. Implicitement. Sournoisement. Je parle beaucoup avec le fond de mes sombres pupilles ; je suis très expressif au niveau des mimiques mais oui ; avant tout : mon regard.
Un défaut maintenant ? C’est embarrassant. Je n’en vois pas, là. Mais je peux m’en sortir en vous demandant ce qui vous dérange concernant ma personne. Hum ?
- Au niveau du caractère désormais. C’est bien plus intéressant vous n’êtes pas d’accord ?
J’assume à peu près mes défauts comme mes qualités. Mais faisons un tri pour un brin d’organisation, de compréhension.
Je suis attentif, curieux, perspicace, adroit, appliqué, courtois, charmant, courageux, déterminé.
Ce sont mes qualités, et j’en oublie forcément mais vous aurez – peut être – l’occasion d’en voir d’autres.
En effet je suis quelqu’un de respectueux et de bienveillant, du moins en apparence. Je fais de mon mieux pour paraitre poli et distingué. Appréciant être agréablement reçu, je m’arrange pour adopter l’attitude que j’aime apercevoir chez les autres. Très investi dans mon travail, j’agis avec autant de détermination dans la plupart des choses que j’entreprends. Sauf peut être les relations intimes mais, ne sommes nous pas tous ainsi ?
J’ai des craintes, comme chacun, mais je pense pouvoir me vanter d’être courageux. Après tout le courage n’implique-t-il pas quelques peurs pour exister ?
Je suis un ami solidaire, présent, utile. Autant que faire se peut. Quand bien même je prends le risque de me brûler les ailes, j’aime payer mes dettes. Quelles qu’elles soient.
Mais je suis aussi impulsif, jaloux, arrogant, impatient, taquin, méfiant, têtu.
Quand une passion ou une émotion se fait plus forte que la raison elle a tendance à prendre le dessus. Mes réactions sont alors poussées par un manque de réflexion et ça peut provoquer quelques bavures embêtantes. Je progresse, je le jure, mais il arrive encore et notamment en matière de fierté, que je me laisse dicter par une envie de violence. Pas forcément physique.
La jalousie c’est étrange ; dois-je plutôt parler de possessivité ? Si je fréquente une demoiselle je déteste la croiser au bras d’un autre, quand bien même je clame fièrement mon célibat. Vous n’êtes pas les seules compliquées ; mesdames.
Arrogant, prétentieux même. Mais pas toujours et je crois, rarement à tord. J’aime me lancer des fleurs et insister sur mes exploits quand cela me permet de faire taire quelques pénibles. Je m’assure toujours d’avoir de l’argumentation et des exemples pour valider mes propos. Il vaut mieux. Et puis avouez, c’est plus emmerdant pour les autres lorsque je me vante tout en ayant raison. Mon côté têtu doit venir de là.
Taquin car joueur, parfois pénible.
Méfiant, sans doute trop. Cela me pousse à être fermé, renfermé. Je parle assez peu de ma vie privée – ok, elle est presque inexistante – mais si je sais mettre en confiance je donne très rarement la mienne.
(150 mots minimum, limites, contraintes, état de la capacité)
Le charisme.
Discret pouvoir de séduction, d'influence que j'exerce sur autrui à mon avantage. C'est un art de converser, de convaincre, de plaire tout en montrant que l'on est conquit. Une forme d'hypocrisie talentueuse qui pourrait passer pour une aptitude naturelle; une capacité à être civilisé, courtois, au gout de toutes et de tous.
C'est du moins ce que je crois.
Pourtant j'ignore parfaitement que c'est un véritable don qui me vient de ma mère. Assez discrète comme je le disais, cette aptitude m'est parfaitement inconnue, j'ignore qu'une aura attrayante ou désirable émane de mon corps ; mieux vaut peut être que je la méconnaisse, je risquerais d'être vexé si mon succès venait à être contesté;
En réalité,
plus l'interlocuteur ou l'assemblée à laquelle je fais face suscite chez moi de l'intérêt, une quelconque motivation, et
plus mon don est prononcé. Intense. Certaines femmes voient en moi un homme irrésistible, d'autres jureront que je ne suis qu'un manipulateur mais ne pourront s'empêcher de baver...
Il en est de même pour les hommes. Beaucoup réussissent à me confier leurs affaires avec foi;
Ce que mon entourage ressent peut s'apparenter à une impression relativement forte de confiance, de crédulité quand à mes compétences professionnelles mais aussi humaines.
Ce n'est pas moi qui choisi la nature de leurs avis et idée à mon égard, tout dépend réellement de la personnalité et du caractère des gens qui font face à la quantité d'aura reçue; S'ils sont plus ou moins influençables, sensibles, menés plutôt que meneurs dans leur humeur.
Ensuite, plus mon aura se concentre sur une personne, plus celle-ci risque d'être influencée - dans le bon sens - par ma personnalité.
Puisque c'est inconscient je ne peux absolument pas choisir librement de "charmer" telle personne plutôt que la seconde, mais ma capacité se proportionne toute seule en fonction de mes préférences;
Encore une fois, sans que je ne le comprenne.
Mes ressources de ce fort charisme sont limitées. Partons de la base 100. Trois personnes m'adressent la parole lors d'une quelconque conversation. L'une d'elle est très séduisante, m'amuse. Mon aura charismatique lui accorde 60%; les deux autres personnes sont des collègues sans intérêt que je dois juste m'efforcer à écouter par politesse...elles auront 20% chacune de mon don à leur égard; (sur un laps de temps relativement court; voir plus bas).
La base 100 n'évolue pas en fonction du nombre d'interlocuteurs - de personnes présentes dans mon entourage immédiat. S'il y a face à moi 25 personnes, je ne peux toutes leur accorder 20% de mon aura c'est impossible. En revanche je peux en ignorer la plupart pour me concentrer sur une poignée, encore faut-il que cette majorité ignorée soit totalement inintéressante, sans intérêt.
Autre chose : l'aura atteint forcément un locuteur. Les voisins de bus ou la secrétaire du bureau d'en face pas tant que je ne leur accorde pas de l'attention, de la curiosité. Mais du moment que j'entre en discussion avec quelqu'un, je lui adjuge forcément de l'intérêt.
Cette base de 100 peut se diviser infiniment mais tant que les individus n'obtiennent pas au moins 5% de mon aura, elle est totalement inefficace. Je peux donc, logiquement, capter l'attention grâce à mon don, d'une vingtaine de personne. Mais cela restera limité car 5% est un très faible taux;
Je n'ai alors plus qu'à faire confiance à mes aptitudes naturelles de séduction !
Si mes "victimes" sont toujours séduites, d'une façon ou d'une autre, cette sensation peut s'accompagner de bien des ressentis qui sont déterminés uniquement par la personnalité de l'homme ou la femme visée par l'aura.
En règle général : je gagne aisément la confiance des autres. J'éveille néanmoins d'étranges méfiances ou rancœurs parfois.
Je n'ai pas la moindre conscience de tout ceci. Je ne peux en aucun cas faire le rapprochement entre ce don et mes maux de tête récurrents, mes quelques vertiges que j'attribue à une fatigue générale...cette impression pénible qui vous dit que si vous êtes dans un tel état, c'est du à la réunion trop longue avec ces trop nombreux juristes : c'est en fait tout à fait ça.
Une journée "normale" aboutit automatiquement à une nuit lourde, pesante, totale. Mon sommeil est indispensable à ma récupération car ce don forcément constant - puisque du à l'attention que je porte moi-même aux autres - me fatigue grandement;
Plus ma base de 100 se partage, se fractionne, et plus je ressens quelques difficultés qui n'interviennent plus forcément en fin de journée. Les maux de tête deviennent de vraies migraines m'empêchant totalement d'être concentré, j'ai besoin de m'assoir, je dois boire énormément - c'est un des rares remèdes en dehors du sommeil que je connais - et des espèces de bouffées de chaleur me poussent dès que je peux à me jeter sous l'eau froide;
Je dois en fait à cette capacité quelques comas et sérieux malaises que j'ai cherché à attribuer au stress...
M'usant intensément, ce don a la faculté de s'atténuer progressivement avec le temps. Comme une défense, une sauvegarde pour épargner mes "batteries". Les premières minutes que j'accorde à quelqu'un en particulier s'accompagnent d'une aura de qualité, bien chargée en charisme convaincant et puissant, mais au bout d'une petite heure, elle a tendance à s'évaporer... et ce, jusqu'à ce que je m'accorde du repos.
Pour un petit groupe de personne ça ne dure pas quarante minutes et si je me concentre même fortement sur une assemblée, l'aura n'agit pas plus d'un quart d'heure.
Évidement, cette compétence doit m'être très utile lors de mes procès. Challenger que je suis, une affaire compliquée génère tout mon intérêt et toute mon implication ! Plus mes relations nécessitent de l'investissement psychologique, de l'hypocrisie professionnelle - si j'puis dire - de la concentration, et plus je serais malmené par les soucis cités plus haut.
Plus l'aura se propage, plus je suis mal. Plus elle se concentre et cible une seule personne - ou un tout petit groupe - et plus je souffre, aussi.
Il n'y a que dans les moments ou je me referme sur moi-même, ou je réussis à oublier le travail, ou j'arrive à me détendre (sport, musique) que j'économise mes facultés et donc repose cette dépense importante d'aura; d'énergie à mes yeux...
(800 mots minimum sous forme de RP ou non)
Histoire. Mon histoire.
Elle a bien démarré ; tout le monde n’a pas la chance de naitre dans un foyer relativement aisé, confiant, matériellement on ne peut mieux équipé et psychologiquement plutôt stable. Equilibré. J’ai conscience de cette opportunité due au hasard ou à mes parents – les points de vue se discutent – et je sais que ce sont ces bases solides qui m’ont permis d’avancer.
D’avancer suffisamment ; en tout cas.
L'aubaine du nouveau né;
Est un bonheur inespéré.
Si je la dois à mon hérédité;
J'ai su habilement l'exploiter. Mon père était avocat. Il exerce encore aujourd’hui mais je ne saurais dire s’il est resté accroché à ses chères affaires familiales et autres droits que le divorce ou s’il se penche sur plus intéressant ; nous avons plus ou moins coupé les ponts.
Ma mère était sa secrétaire ; enfin jusqu’à ce qu’il l’épouse. Après ça elle a préféré s’occuper de la maisonnée à temps plein. Je soupçonne un désir misogyne du paternel mais après tout c’est leur problème. J’ai donc bénéficié de la présence de maman autant que possible, de sa patiente tendresse et de sa douceur appliquée qui sont les qualités qui ont permis que je sois humain à l’heure actuelle. Pas une machine à part entière.
Un peu de douceur;
De baume au cœur.
Je suis son admirateur;
Elle a fait de moi le plus honnête des voleurs... Oui j’ai le sentiment d’être né pour accomplir une tâche que mon père, et son père avant lui, avaient prévue avant que je n’arrive au monde. J’imagine que si j’avais été une fille, ils s’en seraient contentés. Pas bien le choix. Papa ne voulait pas deux enfants, alors !
C'est peut être cette condition qui m'a poussé dans plusieurs sports, mais aussi dans la musique. Enfin j'ai surtout réclamé un piano, j'ai appris seul, en autodidacte. Vous devinez donc que je ne suis pas un virtuose ! J'aime juste laisser planer les notes de ce bel instrument, chantonner parfois, ça détend et permet de montrer que l'on n'est pas seulement ce que les autres souhaitent ...♪
Ah oui la tâche, la mission : je devais, obligatoirement, maintenir le nom familial dans l’ordre du barreau de Detroit. Le nom et la supra réputation, tant qu’à faire. Il y a beaucoup de pères, de parents, de familles qui transposent leurs espérances, rêves et carrières sur la vie de leurs gamins, mon histoire n’est en rien un cas à part. Exceptionnel ou original. Mais c’est mon histoire.
Briller à sa façon;
Suivre ses décisions;
Supporter sa domination;
Tout ça pour un petit nom...Je ne voulais pas forcément être avocat. Adolescent j’étais assez intéressé par les forces de l’ordre, la police, j’ai même envisagé l’armée. Mais sans m’en rendre compte mes études ont été guidées et maitrisées d’une main de maitre. Je suis allé là ou ils le désiraient, comme ils le souhaitaient ;
Remarque : heureusement pour eux, je n’étais pas cancre.
Bercé par les codes en tout genre, les articles, les lois, circulaires et autres arrêtés, j’ai finis par trouver ma place dans un cabinet de Chicago. Je tenais à ne pas être trop collé à mes vieux. Trois années là bas m’ont donné une belle expérience qui, ajoutée à un caractère bien trempé si j’puis dire, m’a rapidement permis d’être l’avocat avant d'être le fils.
Fier de ça, j’ai tenté de toucher à toutes les juridictions, me suis intéressé à beaucoup de domaines par curiosité, soif de connaissances et impulsivité certaine…
Exhausser son souhait;
Prendre le relais;
Ça ne m'empêche pas d'être fier;
Et qui sait; bientôt populaire. Pourtant, tout n’est pas toujours comme on l’entend. Comme on le décide ou comme on l’espère. Je pensais être le genre d’homme ‘bien’, sans être le preux chevalier de ces dames, le défenseur de la veuve et l’orphelin, j’étais utile à mes clients et gentilhomme en société ; il ne pouvait donc pas m’arriver de réelle poisse n’est ce pas ?
Mais les femmes, elles provoqueront notre perte. C’est certain !
J’ai rencontré Samy dans le cabinet de Chicago ; non elle n’y était pas secrétaire, mais avocate. Quelques affaires nous ont opposés, d’autres ont été gagnées grâce à notre collaboration et ce petit jeu de taquinerie m’a été fatal.
Une relation plutôt sérieuse, très sérieuse en fait, une complicité enivrante, envoutante, dangereuse, une insouciance, une naïveté ; nous sommes devenus parents.
Le petit est toute ma vie.
Si le couple que nous formions a périt ;
De mon côté je pense m’être endurci.
Adieu la romance, les filles sont justes d’intimes amies…Cela fait cinq ans que le petit est né, trois que nous sommes séparés et je suis arrivé il y a environ un an à L.A. J’avais suffisamment confiance et maturité pour prétendre à l’ouverture de mon propre cabinet, ce fut un succès si ce n’est immédiat qui ne s’est en tout cas pas trop fait attendre.
Je suis rassuré par ma réussite professionnelle qui est tout ce que j’ai gagné, en fait. Plongé dans le boulot, noyant la moitié de mes heures à travers les codes que je connais tant, passant l’autre moitié en audience, plaidant des causes plus ou moins louables…
L’argent, le gain, l’attrait de la richesse est assez fort. Je l’admets. Je prends beaucoup d’affaires mais mise également sur la qualité de celles-ci. Je préfère plaider la cause d’un criminel pour lui assurer un sursis modéré plutôt que de grappiller des centaines de dollars en dommages et intérêts pour la victime d’un accident ; c’est ainsi.
Le métier est devenu mon arrogance ;
Je ne pensais pas avoir de particulières compétences.
Si aujourd’hui je ne connais rien de ces sciences ;
Je préconise toujours la vigilance… (100 mots minimum)
Je tiens à rendre mon cabinet célèbre. Du moins réputé. J'espère pouvoir continuer à gagner la confiance des clients afin de faire partie des plus désirés, au sein du barreau de Los Angeles. D'un point de vue professionnel, il n'y a pas de limites. Je veux des tas d'affaires, du succès, défendre des causes politiques, qui touchent les gens et font jaser... bien sur il y a la recherche des affaires les plus importantes. Les essentielles d'une carrière dont on peut se vanter infiniment, qui permettent d'être une référence dans le milieu ;
J'espère que mes compétences - que je crois toujours naturelles - me donneront accès à des cercles trépidants, des missions audacieuses et des risques utiles à l'estime que peuvent avoir les plus grands pour un simple nom...
(c) Klo& | ؏ PSEUDO ؏ Chou ؏ ÂGE ؏ 21 ans ؏ AVATAR ؏ Robert Downey Jr ؏ CODE DU REGLEMENT ؏ ؏ EXPERIENCE RP ؏ Trois ans, pour le "vrai" rp ؏ DISPONIBILITE ؏ Passage tous les jours, rp 3/7 ؏ OU AVEZ-VOUS DECOUVERT LE FORUM ؏ Il est dans mes favoris depuis un moment *-* je n'sais plus ؏ VOTRE AVIS ؏ Des hésitations, pour le groupe notamment x) Sinon ça a l'air topissime *-*
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