REMINGTON PILLSBURY
Face à la roche, le ruisseau l’emporte toujours, non pas par la force mais par la persévérance.(c) BurningCandles | ؏ NOM ؏ Pillsbury ؏ PRENOMS ؏ Remington ؏ DATE DE NAISSANCE ؏ 20 mai 1981 ؏ EMPLOI/ETUDES ؏ Diplôme d'High School validé en 1999 à l'âge de 18 ans, Bachelor's degree avec dominante dessin validé en 4 ans à l'âge de 22 ans en 2003, engagement dans l'armée début décembre 2003, il démissionne début 2008. Il vit de petits boulots depuis. Ses principales sources de revenus sont ses contrats pour The Agency. ؏ GROUPE & RÔLE ؏ I walk with the Agency - Agent de terrain à qui l'on donne la plupart du temps sans le savoir des missions durant lesquelles il peut exprimer son côté dément. ؏ POURQUOI CE GROUPE ؏ On n'échappe pas à son destin. Je suis le fils d'un membre de la mafia décédé quand j'avais 4 ans. Il a voulu me préserver de ce monde. Je ne connaissais pas ses activités. Mais j'ai le meurtre dans le sang. C'est comme ça, je n'y peux rien. J'aime ça, et grâce à Kasey qui m'a présenté des personnes qui m'en ont présenté d'autres, j'ai pu rentrer à The Agency. Ils me paient bien, les missions me plaisent et me permettent de m'exprimer librement. Je ne peux en demander davantage pour le moment. ؏ STATUT SOCIAL ؏ Modeste même s'il possède une petite maison en banlieue.
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Je ne suis pas un psychopathe. Je ne suis pas un sociopathe. Je suis un passionné qui exerce un art et qui veut le développer. Je suis doué pour le dessin, je n'y peux rien, c'est un don qui m'est tombé dessus quand j'étais petit. Comme Obelix qui est tombé dans la marmite de potion magique, à la différence près, c'est que chez moi, c'est inné. J'ai une passion tordue qui répugne certains de mes collègues au sein de The Agency. Prendre le foie de mes victimes, c'est en quelque sorte ma marque de fabrique. Si on découvre un mort à qui il manque le foie, sans connaître mon nom, sans savoir qui je suis, on sait que c'est moi. Et cela me procure une fierté immense même si elle est mal placée. Je suis du genre à ne jamais renoncer. Si une victime potentielle me glisse entre les doigts, je deviens le prédateur qui sommeille en moi et je la traque, jusqu'à obtenir ce que je veux. Cet organe tant désiré qui viendra agrandir ma salle de trophée. En dehors de cette passion macabre, on peut dire que je suis presque normal. J'ai des tendances solitaires, encore un point commun que j'ai avec le lynx. Ce dernier ne sort de sa solitude que pour s'accoupler et reproduire son espèce. Ensuite il retourne à sa vie solitaire. Il en est de même pour moi. J'assouvis mes pulsions charnelles lorsqu'elles se font trop présentes dans mon esprit. Mais jamais je ne m'attache. Se prendre d'affection pour quelqu'un, c'est se créer une faiblesse. Manipuler pour mieux parvenir à ses fins. Toujours se donner les moyens d'atteindre ses objectifs. Je suis un persévérant né. Derrière ma douceur quand je dessine, se cache un être au côté sombre. Dark Vador et le côté obscur de la force sont tombés sur moi depuis ma dernière mission en Irak. Aussi bien je peux être charmant un instant, que celui d'après, je serais très cassant. La question n'est pas ce que je peux faire pour vous venir en aide mais plutôt ce que vous pouvez faire pour me satisfaire, et amener ce petite sourire cynique qui me caractérise tant. Niveau vestimentaire je prends soin de moi. Je m'habille toujours de façon soignée. Ce n'est pas parce qu'on est un tueur à gage que l'on doit être négligé. Certes il m'arrive souvent de garder une petite barbe de quelques jours, car j'ai la flemme de me raser. Mais soit disant, cela me donne un air charmeur, et aussi mystérieux. Mes prunelles azur vous fixent et par mon regard, si vous êtes faibles mentalement, je suis capable de vous mettre terriblement mal à l'aise. La vie est un jeu de conquêtes et de victoire après tout. Mettre mal à l'aise les personnes, en tuer, ce sont des récompenses à mes yeux.
Métamorphose en lynx
Ma capacité est de pouvoir me transformer en lynx et je dois bien avouer que la transformation est horriblement douloureuse. J'ai à chaque fois l'impression qu'on m'arrache ma chair et je commence à me sentir mieux seulement quand elle est complètement achevée. Quelles sont mes caractéristiques quand je suis sous forme de lynx ? J'ai l'apparence d'un gros chat. Mais il faut se méfier de l'apparence car après tout je suis un félin et un animal sauvage. J'ai des crocs pointus et des griffes rétractables et acérées. Sous ma forme humaine, je n'ai pas du tout de particularité, mais sous forme de lynx, ma vue est légèrement meilleure. Par contre, mon odorat sous ma forme féline est très peu développé car il ne me sert pas vraiment. Je ne suis pas très bon à la course contrairement à certains de mes cousins félins, c'est pourquoi je dois plutôt adopter des tactiques plus subtiles pour atteindre mes proies. En me cachant et en les guettant. La durée de ma transformation ne dépassera pas une heure. Chaque passage de félin à humain provoque chez moi une petite perte de connaissance. Cela le fait dans un sens mais pas dans l'autre, je ne sais pas pourquoi. A cause de cette perte de connaissance, je suis toujours un peu déboussolé et il me faut du temps pour recouvrer tous mes esprits. C'est à ce moment là que je suis le plus vulnérable J'ai découvert ma particularité il y a trois ans et je dois avouer que je ne contrôle pas tout. J'ai beaucoup de loupés, surtout dans mes sauts pour immobiliser mes victimes. Je suis peut être trop gros en lynx, ce qui réduit ma mobilité, je ne sais pas. Il faudrait que j'étudie la question pour comprendre toutes mes faiblesses, mais pour l'instant, cela ne m'intéresse pas. Je me métamorphose seulement quand je suis en proie à de fortes émotions, et ce sont essentiellement des émotions négatives comme la haine ou la colère.
Dès ma naissance en 1981, je vécus dans un cocon familial aimant et soudé. Mes parents étaient un jeune couple dont l'amour allait au-delà de ce qui se passait sur notre planète. Ceci était une douce utopie. Ils étaient décidés à me préserver et à me tenir à l'écart de toutes les cruautés qui composaient ce monde. Ceci également était une douce utopie. Comment pouvait-il me préserver alors que mon père appartenait à un réseau mafieux et qu'il mettait chaque jour qui passait sa vie en danger, ainsi que celle de ma mère et la mienne par la même occasion. Enfin bref, il voulait me préserver de ce monde sombre mais ne savait pas que quoiqu'il fasse à l'époque, mon destin serait indéniablement amené à rencontrer des mafieux et à entrer dans leur monde et ce, des années après ma naissance.
Le petit bonheur de notre famille vola en éclat l'année de mes quatre ans. C'était un soir d'hiver, la veille de noël en fait. J'étais si enthousiasme à l'époque malgré mon jeune âge. Le père noël allait venir et déposer mes cadeaux sous le sapin. Notre famille devait se rendre dans une petite ville en dehors de Great Falls. Oui, j'habitais le Montana à l'époque. La neige s'était mise à tomber depuis le début de l'après midi. Elle s'était arrêtée peu avant que notre famille se mette en route, en tout début de soirée. Un brouillard givrant tomba soudainement, gelant la neige fraîchement tombée et glaçant la route. C'était courant ce genre d'évènement climatique dans le coin, mon père y était habitué et ne s'en inquiéta pas. Il n'avait pas tort car ce n'était pas ce qui allait déclencher le drame. Au détour d'un virage, une voiture arriva en face de nous, en plein phares. Qu'elle ait les plein phares était dérangeant mais non inquiétant. Ce qui l'était davantage, c'était qu'elle fonçait droit sur nous. Contre toute prudence mon père donna un coup de volant. Notre voiture familiale dérapa sans qu'il ne puisse en reprendre le contrôle. Elle sortit de la route, descendant un talus et faisant des tonneaux. On ne sut jamais par quel miracle, mais ce jour là, en cette veille de noël, je survécus, sans aucune égratignure. Dans le malheur qui venait d'arriver à notre famille, un miracle de noël venait d'avoir lieu.
La seule famille qui me restait était mes grands parents de ma mère, ceux chez qui on devait se rendre pour le réveillon de noël. On les considéra trop âgés pour s'occuper de moi alors il fut décidé qu'on me place dans une famille d'accueil habitant à Los Angeles. Je n'avais que quatre, on disait que j'étais trop jeune pour comprendre ce qui se passait. Mon œil. On n'est jamais dans la tête d'un enfant et on ne sait jamais ce qu'il pense et ce qu'il ressent. Ils croyaient savoir pour moi que j'oublierai tout, ils se trompaient. Depuis cette année là, je me mis à détester la période de noël. Santa Klaus devint celui que je n'aimais plus et sur qui je voulais lancer mes voitures pour lui faire du mal.
Les années passèrent. A défaut de donner de l'amour à ma famille d'accueil, je me repliais lentement sur moi-même. Je me plongeais dans les études comme voie d'échappatoire au manque qui m'animait de l'intérieur. Le souvenir de mes parents disparaissaient progressivement dans mon esprit et bientôt, je ne pus m'en rappeler que grâce à une vieille photo qu'on m'avait laissé. Je me demandais souvent quelle aurait été ma vie si mes parents avaient toujours été vivants. Toutes mes questions demeuraient sans réponse. Solitaire, je ne cherchais pas de réponse auprès d'autrui, mais seulement dans les écrits et les pensées. Hésitant encore au lycée entre différentes voies, une fois mon diplôme d'High school validé à l'âge de dix huit ans, je me décidais pour faire un bachelor's degree en quatre ans avec une dominante en dessin. J'avais un don entre les mains pourtant je ne savais pas de qui je le tenais. De ma mère ou de mon père ? Aucun des deux peut être ? C'était encore une question sans réponse pour moi...
Mes études à la faculté se déroulèrent bien. Le dessin me demandait beaucoup de travail mais c'était une passion et non une obligation pour moi. Si bien qu'une fois mon bachelor's degree en poche, un de mes professeurs me demanda si je voulais travailler pour lui. N'ayant rien de prévu dans un futur proche, j'acceptais et je devins ainsi l'assistant du professeur de dessin de la fac. Je suivais les cours de près, pensant parfois que mon mentor restait trop enfermé dans ses idées pour l'enseignement. Le dessin était un art libre qui ne méritait aucune frontière. J'espérais un jour pouvoir montrer de quoi j'étais capable et qu'une chance me serait donné. Le professeur eut une attaque cérébrale quelques mois après la rentrée. La faculté n'ayant pas d'autre professeur employé, me demanda si je voulais assurer l'intérim. J'avais vingt deux ans, une opportunité m'était offerte. Le problème, c'était que nous approchions dangereusement de noël et cette période me répugnait toujours autant.
Et c'est là que ma vie bascula pour la première fois. Je pris une décision, peut être stupide mais c'était la mienne. Nous étions en 2003, depuis mars, les Etats-Unis avaient envahi l'Irak avec l'opération Iraqi Freedom. Les images de l'époque m'avaient fasciné. Nous approchions dangereusement de noël et toujours la même angoisse qui montait en moi. Et c'est à cette période que je pris ma décision. Plutôt que d'accepter de remplacer le professeur pour donner des cours à la faculté, je m'engageais dans l'armée. Idée stupide, pas du tout réfléchie mais c'était la mienne et je venais de la prendre. Durant les mois suivants, je suivis une formation au sein des forces spéciales de l'armée. Moi le gringalet qui n'avait quasiment jamais fait de sport de ma vie, je commençais à apprécier la musculation et le dépassement de soi. J'apprenais à tirer, on faisait des manœuvres nous mettant en situation. Je me découvrais une passion. Oui, car jouer au petit soldat était certes une chose nouvelle mais j'avais l'impression d'avoir ça dans la peau et que j'étais destiné à servir mon pays. Douce utopie que je tenais de mes parents...
Je fis plusieurs missions de quelques mois en Irak. Celle qui bouleversa vraiment ma vie se situa durant l'année 2007. Cette année fut sanglante pour la coalition, il y eut plus de neuf cent morts du côté coalition. De nombreuses prises d'otages également de soldats américains. Je fis parti d'une de ces prises. Et je vécus la période la plus sombre de ma vie durant laquelle je crus que je n'en ressortirais pas vivant. Je passerai les détails mais la torture est une chose à laquelle on ne survit que si on est suffisamment fort mentalement. Quand l'espoir s'amenuise chaque jour, le tunnel s'enfonce de plus en plus et la lumière qui en caractérise le bout se fait de plus en plus faible. J'ai vu la mort de près. J'ai souhaité qu'on m'achève durant ma période de captivité. Mais non, ces fichus terroristes décidèrent de me garder en vie ainsi qu'une toute petite poignée de soldats. Ma vision de la guerre changea à ce moment là. Ma mentalité également. Je n'avais plus du tout envie de servir mon pays. Tout ce que je voulais, c'était survivre. Et cette survie passait par la mort de mes bourreaux. Une haine naquit en moi, grandissant à chaque fois que je subissais une séance de torture. L'instinct de survie prenait le dessus et celui-ci voulait que mes geôliers meurent.
C'est durant ma captivité que je le découvris. Ce don que je possédais en moi mais qui ne s'était jamais exprimé jusqu'à présent. Peut être qu'il aurait encore sommeillé quelques années si ma haine n'avait pas été telle que je voulais transformer ma position de chassé en celle du chasseur. Quand mon don se déclencha pour la première fois, je ressentis une douleur immense. Comme si on m'écorchait vif. C'était pire que la torture que j'avais subi jusque présent. Très vite pourtant, je ressentis de nouvelles sensations. Et je m'aperçus que mes mains avaient laissé la place à des griffes acérées et rétractables. J'étais devenu un lynx. Par quel miracle, je ne le sus pas mais c'était l'unique occasion de sauver ma vie. Mes instincts de prédateurs prirent le dessus et bientôt, je ne fis qu'une boucherie de quelques terroristes qui tentèrent de m'arrêter. Je les chopais au visage avec mes crocs. Je me jetais sur leur torse, les griffes sorties et n'hésitant pas à les enfoncer dans leur chair. Je ne sus pas combien j'en blessais ou tuais. Je finis par perdre connaissance, entendant des voix non loin de moi.
Nous étions alors fin 2007. Je me réveillais dans un hôpital militaire américain dans une base en Irak sans aucun souvenir de ce qui m'était arrivé. Je demandais ce qui s'était passé. On me répondit par des bribes. Je sentais que quelque chose n'allait pas. On refusait de me dire ce que c'était. Je compris juste qu'une sorte de félin avait tuer plusieurs terroristes et qu'on m'avait retrouvé inconscient, les vêtements complètement en lambeaux et avec de multiples blessures dues aux tortures que j'avais subi. Il me fallut quelques jours pour recoller les morceaux et comprendre ce qui m'était arrivé. On me rapatria assez rapidement aux Etats Unis quand je fus en état d'être transporté. La guerre c'était fini pour moi. L'armée aussi d'ailleurs. On eut beau me donner une jolie médaille pour mon courage. Je balançais celle-ci à la poubelle une fois rentré sur Los Angeles. Ma captivité m'avait changé. Elle avait réveillé une partie de moi que je n'avais jamais soupçonné. Un prédateur sommeillait en moi. Il pouvait tuer et le pire, c'est que j'avais l'impression d'aimer ça.
En 2008, je donnais donc ma démission à l'armée et regagnait la vie civile. Je retournais à Los Angeles. Je vécus de petits boulots. Je fis même quelques illustrations pour aider un certain Kasey Jung. A cause d'une erreur de ma part en créant une illustration de BD me représentant dans laquelle je me transformais en lynx, Kasey commença à avoir des soupçons sur ma véritable nature. De fil en aiguille, il finit par découvrir ce que j'étais. J'appris qu'il était comme moi. Il me présenta quelques personnes qui m'en présentèrent d'autres. Ils apprirent que j'étais un ancien militaire. Je pouvais donc leur être utile. Et ma mentalité rentrait parfaitement dans leur moule. Depuis 2007, je n'avais plus de pitié et tuer ne me dérangeait plus. Il fallait être le plus fort, et persévérer dans cette jungle urbaine pour survivre. Tuer ou être tué. Début 2009, j'entrais ainsi à l'Agency. On me confia des petites missions de terrains dans un premier temps. Ma manière de les exécuter était un peu étrange mais ce qui comptait pour l'Agency, ce n'était pas la manière mais le résultat. Et mes résultats étaient là.
Je suis efficace même si je répugne certains de mes collègues en ôtant le foie de mes victimes. C'est une sorte de trophée. Je ne sais pas pourquoi je fais ça. J'ôte les foies et je les garde précieusement dans des bocaux, dans une pièce cachée de ma maison. C'est un rite qui a lentement pris sa place depuis plus d'un an et je ne peux m'arrêter. C'est comme si mon geste avait une dimension symbolique et mythologique. Le foie est quasiment le seul organe à pouvoir se régénérer après tout. Et l'ôter, c'est comme m'assurer que la personne ne survivra pas à ses blessures. En mythologie, mon rituel pourrait faire penser à Prométhée qui, pour avoir défié les dieux, a été condamné à voir son foie perpétuellement dévoré. Je suis peut être un Prométhée post moderne. La différence, c'est que moi je n'ai pas le courage de dévorer le foie de mes victimes. Du moins, pour le moment.
Je n'ai pas d'espoir. C'est pour les faibles. Tout ce que j'ai, ce sont des projets. Mon premier est de pouvoir continuer à œuvrer encore plusieurs années pour The Agency. Exécuter des contrats me plait. Je n'ai pas de pitié pour mes victimes donc je n'ai pas de raison d'arrêter ce que je fais. Malgré mon côté meurtrier, j'ai un projet plus pacifique. Celui d'arriver à créer ma propre BD et de la faire publier. Cela s'annonce ardu mais j'y arriverais. Il suffit simplement que je m'en donne les moyens et le temps. J'ai aussi pour projet de continuer d'agrandir ma collection de foies humains. Ce sont des trophées qui me permettent et me permettront d'accroitre ma popularité dans le monde des tueurs à gage. Quoique, je ne veux pas être populaire, je veux seulement qu'on me craigne.
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